Surfez sur la vague du POUR!

 


Ça y est! Vous ressentez de nouveau un vide à l’intérieur de vous! Vous sentez que votre esprit est monopolisé par des pensées de manque. Ou bien, vos pensées tournent en boucle sur le sujet qui vous préoccupe. Vous ressassez de manière obsessionnelle ce qu’il ou elle vous a dit. Vous retournez sans cesse dans votre esprit cette situation qui vous met mal à l’aise en essayant d’en découvrir le sens caché, de trouver le levier sur lequel vous pourriez agir pour faire pencher les choses en votre faveur mais vous n’avez encore rien trouvé. Vous angoissez car vous imaginez le pire. Vous avez besoin de savoir, vous avez besoin d’être rassuré, vous avez besoin de réconfort, d’être validé dans vos réflexions.

En attendant d’obtenir cela, vous grignotez, vous ne vous sentez pas capable de faire ce que vous aviez prévu de faire, vous restez coincé devant la télévision, vous n’arrivez pas à sortir de chez vous ou vous vous lancez dans un ménage méticuleux et approfondi où chaque détail à son importance à vos yeux. Bref, la liste est longue de tout ce que vous pouvez mettre en place comme moyen de substitution au manque. Vous cherchez à vous distraire de ce vide, à le remplir de rien.

Ce qui est important de comprendre c’est que cette recherche de distraction ou de substitution au vide que vous ressentez n’est pas consciente. Si quelqu’un vous demande « mais pourquoi grignotes-tu encore? », vous répondez que vous avez faim ou envie d’un truc sucré. Si quelqu’un vous propose d’aller vous promener au grand air, vous répondez que vous avez encore du ménage à faire. Et vous en êtes persuadé ! À aucun moment vous êtes capable de dire que vous avez besoin de faire toutes ces activités pour échapper au vide qui vous habite. Vous êtes persuadé que vous devez faire ces activités et que vous vous sentirez mieux quand vous les aurez faites. Ceci est juste, d’une certaine manière mais peu durable dans le temps. Dès que la sensation de vide reviendra en vous, vous replongerez dans la boîte de gâteaux, dans votre ménage intensif ou dans ce travail extrêmement urgent qui n’est indispensable que pour vous.

Stop! Observez-vous un instant! Etes-vous vraiment en train d’agir en vous concentrant sur ce que vous voulez vraiment? Est-ce que ces activités correspondent vraiment à votre idéal dans la vie? Ne sont-elles pas des activités qui finalement agissent en votre défaveur? Vous qui avez besoin d’être apprécié pour ce que vous êtes, d’être soutenu, d’être reconnu dans vos valeurs personnelles et vos talents, n’êtes-vous pas en train de vous isoler, de vous saboter? N’êtes-vous pas en train de vous distraire de votre but réel? Voulez-vous réellement vous laisser prendre du poids en grignotant à chaque occasion? Voulez-vous vraiment être reconnu pour un as du nettoyage? Voulez-vous vraiment que l’on pense de vous que vous travaillez tout le temps et que vous n’avez pas de temps libre pour partager avec vos amis des moments de vie valorisants? Avez-vous réellement besoin de vous enfermer tout seul chez vous toute la journée? Vous appréciez-vous vraiment quand vous passez des heures sur des points de détail, à surfer pour un rien sur internet ou à laisser le temps filer au lieu de vous donner les moyens de poser des actes concis et précis pour faire avancer ce qui vous tient à cœur?

Vous êtes en train de vous gâcher, juste parce que vous êtes perturbé parce que les choses ne vont pas dans le sens que vous voulez et que la vie vous fait attendre pour vous apporter ce que vous voulez qu’elle vous donne.

Alors, au lieu de vous laisser distraire par le fait de n’avoir pas obtenu ce que vous pensez être votre dû, je vous invite à vous concentrer dorénavant sur ce que vous pouvez vous donner vous-même maintenant pour faire un pas vers vos rêves.

Surfer sur le POUR, c’est s’assurer que les choses que vous faîtes et auxquelles vous pensez jouent en votre faveur, qu’elles ne vous distraient pas de votre objectif et qu’elles ne vous empêchent pas de vous concentrer sur la manière dont vous voulez vraiment vous sentir.

Pour cela je vous conseille d’éliminer les résistances en vous. Pour ne pas rester dans un état de turpitude ou dans un mode émotionnel négatif, donnez-vous maintenant les moyens d’en sortir. Cherchez dès maintenant à vous sentir un peu mieux. Allez, hop! Allez vers quelque chose qui vous fait du bien sans pour autant aller à l’encontre de vos rêves. Allez tout de suite vers quelque chose de meilleur pour vous. Et croyez que c’est possible!

Avez-vous déjà vu un enfant faire un caprice parce qu’il n’obtient pas ce qu’il veut? Ce n’est pas agréable à vivre pour son entourage. Cela ne donne pas une bonne image de lui. Il ressort de là épuisé et malheureux. Que fait le parent mature pour l’aider à passer le cap et lui éviter de rester trop longtemps dans une émotion malsaine? Il détourne son attention vers autre chose sans pour autant céder au caprice.

Voilà ce que vous pouvez faire pour éliminer les résistances qui sont en vous et qui polluent votre joie de vivre et contaminent votre entourage. Ces résistances sont l’expression de parties de vous qui manquent encore de maturité, à l’image de l’enfant capricieux. Donnez-vous les moyens de sortir de votre état négatif en allant vers quelque chose de meilleur comme le ferait un parent sage pour son enfant encore au stade des caprices .

Pour cela, je vous invite encore une fois à vous observer. Comment vous sentez-vous quand vous allez prendre un bain? Quand vous allez courir dans la nature? Quand vous allez au spa? Quand vous allez au cinéma? Quand vous téléphonez à votre meilleur ami? Quand vous vous plongez dans des études qui vous passionnent? Vous sentez-vous mieux? Qu’est-ce qui vous fait vous sentir mieux? C’est important de vous connaître et de savoir quelles sont les activités que vous aimez faire et qui vous permettent de changer de mode émotionnel. C’est important de vous autoriser et de vous pousser un peu à utiliser ces activités quand vos émotions sont négatives. C’est aussi cela être responsable de son bien-être. C’est savoir quoi entreprendre pour s’aider soi-même à aller mieux, sans attendre des autres de nous redonner le bien-être que nous avons perdu.

Savoir surfer sur le POUR, c’est rechercher à se sentir mieux et savoir quel chemin prendre pour y arriver. Vous aurez peut-être du mal au début à vous y mettre mais les résultats valent vraiment la peine.

 

L’éco-conduite version bien-être 

Ici, pas question de limiter la puissance moteur et de freiner ses ardeurs pour consommer moins! Bien au contraire! On lâche les freins et on recherche une efficience maximum car la conduite écologique pour le corps humain c’est la pleine puissance de ce que l’on est!

Ce qui coûte cher en énergie pour l’humain c’est le bas régime causé par les peurs, les doutes et l’encrassement du système. Contrairement à une voiture qui consomme plus si on ne sait pas jouer avec les freins, l’être humain s’épuise quand il ne les relâche pas.

Alors si vous souhaitez ménager votre énergie et protéger vos ressources (c’est à dire votre capital santé) je vous invite à lâcher vos freins, à gagner en fluidité.

Comme toujours avec Tendance Winner, je vous propose de considérer ce principe d’éco-conduite du bien-être au niveau physique, émotionnel et mental!

Le premier consommateur d’énergie dans le corps humain c’est le corps physique. Vous savez que plus vous êtes actifs, plus vous brûlez des calories. Ça c’est dans un monde parfait où votre métabolisme est jeune et fringant! Plus le vieillissement se fait sentir plus l’activité physique fatigue le corps et plus chaque mouvement devient compliqué. D’où l’intérêt de se mettre à l’éco-conduite. Pas celle qui invite à s’économiser mais celle qui invite à comprendre pourquoi bouger devient fatiguant pour pouvoir adopter une conduite qui mène loin et en pleine forme!

Le métabolisme primaire permet de faire le tri entre les nutriments ingérés qui donnent au corps une énergie de qualité et les déchets qui doivent être éliminés. Quand on vous parle de la balance énergétique du corps parce que vous souhaitez maigrir ou garder la forme, on vous parle de protides, de glucides et de lipides, parfois de vitamines et des oligo-éléments. Mais rarement on vous parle des déchets. Pourtant les déchets pour le corps humain sont exactement le même fléau que les déchets pour la planète. Vous êtes invités à trier vos poubelles pour protéger la planète mais jamais invités à trier vos déchets pour soulager votre corps. Celui-ci possède un centre de tri efficace mais la plupart du temps complètement débordé! L’humain du 21e siècle possède sans le savoir un système de tri de ses déchets intracorporels en burnout! Le métabolisme débordé cherche à se débarrasser des déchets en les cachant sous les tapis comme le ferait une ménagère peu scrupuleuse. Pour le corps humain, les tapis sont toutes les lames fibreuses de tissu conjonctif qui se trouvent sous la peau, autour des muscles, autour des organes, c’est à dire un peu partout dans le corps.

Les déchets stockés dans l’organisme transforment ces tissus normalement souples et sains en tissus rigides et marécageux car l’eau dont ils sont imprégnés perd sa fluidité et devient une sorte de colle. Ces tissus abîmés sont de vrais freins aux mouvements. Les mobiliser demande de plus en plus d’énergie au corps. L’expression populaire qui dit « qu’on s’encroûte » ne peut pas être plus juste.

L’alimentation déséquilibrée, le sport mal dosé (trop intense ou trop peu), l’absorption de molécules chimiques (médicaments, colorants, transformation industrielle, etc) remplissent le corps de déchets difficiles à évacuer. Mais ce n’est pas tout.

La sphère émotionnelle d’un individu apporte son lot de toxines et d’encrassement. Le stress libére de nombreux déchets dans le corps.

Les tensions émotionnelles pervertissent également la bonne marche du système articulaire et musculaire. Les peurs et les doutes influencent la posture comme le ferait une envie pressante de faire pipi qui ne peut être assouvie. Si cela vous est déjà arrivé vous savez à quel point le corps est crispé et inconfortable dans ce cas là. Et bien quand vous avez au fond de vous une peur inconsciente, un choc passé non digéré ou le besoin constant de vous sentir fort pour supporter un environnement pesant, vos chaînes musculaires se crispent sans que vous en ayez conscience de la même manière que lors d’une envie pressante. Ces crispations sont elles aussi des freins énergivores pour votre corps.

Vous pouvez très bien cumuler en vous des freins d’origine émotionnelle et des freins causés par les déchets du stress, de l’alimentation et des additifs alimentaires que vous consommez. Là vous comprenez pourquoi vous êtes fatigués dès le matin au réveil!

Si en plus vous avez des freins mentaux, c’est à dire que vous croyez que vous êtes incapable de vous créer la vie qui vous fait rêver, que vous avez passé l’âge de vivre des nouveautés ou que vous savez que si vous en faites trop vous ne le supporterez pas, alors en plus du frein, c’est le frein à main que vous avez serré! Pour l’éco-conduite, rouler tous freins serrés, c’est pas brillant!

Bref, la conduite écologique du bien-être c’est tout d’abord éviter le plus possible d’avaler des substances qui finiront immanquablement en déchets polluants dans votre corps.

Ensuite, nettoyer tout ce qui peut l’être! Pour cela il faut mener de front la vidange des émonctoires et la vidange des tissus. Rien de compliqué! On boit de l’eau, beaucoup d’eau tous les jours, on avale des plantes, des herbes aromatiques, des herbes médicinales et des fruits connus pour décrasser les reins, le foie, la peau, les intestins, et les poumons. On s’étire consciencieusement plusieurs fois par semaine. On s’essouffle gentiment en marchant vite ou en trottinant en plein air. Si c’est possible, massage et spa au moins une fois par mois finiront par avoir raison des raideurs, douleurs et autres fatigues.

Ce gain d’énergie permet d’avoir plus de force pour faire le point des relations, des activités et des objets toxiques qui peuplent votre environnement et qui sont des obstacles au bien-être. Les premiers résultats obtenus donnent la motivation nécessaire pour se séparer de tout ce qui encombre son quotidien. On fait du vide dans ses armoires, dans son carnet d’adresse, dans son agenda. Parce que pour reprendre l’analogie avec la voiture, pour ne pas trop consommer d’énergie, mieux vaut éviter de porter des charges inutiles. Porter les victimes chroniques de son entourage sur ses épaules, devoir prendre soin des bibelots de l’arrière grand-mère par excès de loyauté ou accumuler sur son agenda une liste de rappels des rendez-vous de son conjoint ou de ses grands enfants tête en l’air c’est transporter des fardeaux qui ne sont pas à soi.

Le cours d’éco-conduite du bien-être se termine par la mise en place d’une routine d’affirmations positives (voir article), d’une liste de toutes les expériences que l’on souhaite vivre avant de mourir et la rédaction d’un plan d’action pour améliorer son quotidien.

Je vous invite à consulter quelques livres qui vont dans ce sens :

                         

Scène de ménage intérieure de l’épuisé chronique

Lui : « En fait, tu ne m’aimes pas ! »

Elle : « Non, je ne t’aime pas, ou plus. Je ressens même une sorte de mépris pour toi. Je n’aime pas l’image que tu me renvoies de moi. Quand je te regarde je ne peux plus m’identifier à toi. Tu n’es pas comme moi, tu n’es pas ce que je souhaite pour moi. Quand je t’écoute, je peine à comprendre ce que je fais là. Je ne suis en rien fière de toi. Alors je préfère m’éloigner, m’échapper, me cacher. Disparaître… Tu ne me représentes pas. Je ne souhaite pas me montrer à tes côtés. Je préfère mener ma vie de mon côté. Attendre que cela cesse. »

Lui : « Tu m’abandonnes alors ! »

Elle : « A contre coeur. Contre ma volonté. Oui. J’ai fait le choix de tenter l’aventure avec toi, mais tu n’as pas écouté qui j’étais et ce que nous avions décidé de vivre. Tu as fait fi de nos engagements passés pour aller sur des chemins qui n’étaient pas les miens. Tu as voulu la jouer solo sans un regard pour moi ni une pensée pour ce qui nous liait au départ de notre histoire. Alors je te quitte pour ne plus souffrir. Pour ne plus subir impuissante, ce que tu me montres là.»

Lui : « J’avais bien senti que quelque chose n’allait pas. Je comprends maintenant cette sensation de malaise que je ressens, cette lassitude. C’est toi qui ne va pas bien ! »

Elle : « Mon souhait le plus cher était de te donner ma richesse, mon aspect unique, ma flamboyance et l’énergie pure de la vie. Tu n’as eu de cesse que de compter sur toi et de n’en faire qu’à ta tête. Tu as voulu tout diriger, tout contrôler, tout cloisonner. Tu as toujours fait tes choix sans tenir compte de moi. Tu as perdu. Je pars. Regarde ce que tu es devenu! Tu as peut-être eu ton petit succès, mais au final, si on prend le temps
de t’observer, tu es l’ambassadeur du non-amour, du manque, de la lutte incessante, de la mélancolie passagère ou non, de l’insomnie, des douleurs variées et du poids des années. Tu sembles tellement alourdi, gauche comme englué. Et pourtant tellement fier et presque parfois vaniteux du peu qu’il te reste à démontrer et à prouver à tous.Tes valeurs sont devenues étrangères aux miennes. Je ne te comprends plus malgré mes efforts pour essayer de garder tendresse et indulgence pour qui tu es. Je renonce à te suivre. Je renonce à continuer à déployer maintes efforts pour t’inspirer. Te sauver de la médiocrité dans laquelle tu te noies chaque jour un peu plus tout en croyant parfaitement tout gérer, surtout ton image !

Lui : « Tu sais que ma vie n’as pas été facile! J’ai été malmené! J’ai pris des coups! Pourtant je me suis toujours relevé. J’ai toujours réussi à repartir. Je n’ai jamais cessé d’y croire et je ne me suis jamais laissé mourir. »

Elle : « Oui, tu t’es battu. Ou plutôt débattu. Je t’ai vu faire face à l’adversité. J’ai voulu te tendre la main, te soutenir, t’aider à porter un autre regard sur les choses. Mais tu m’as toujours niée car seul toi savait, seul toi connaissait ce qu’il fallait faire, ce qu’il fallait penser et comment il était juste de se comporter. Parce que tu as toujours été persuadé que tes expériences passées et les habitudes inhérentes à la société dans laquelle tu vis sont les seuls concepts valables pour avancer dans la vie.
Au final, permets moi de te dire maintenant que notre histoire se termine, que tout au long de ces années, de où je me trouve, je ne t’ai vu que lutter contre toi-même, te battre contre tes propres croyances, subir tel un pantin le jeu de tes propres émotions ou de tes instincts. La vie autour de toi n’a été que le reflet de ta propre guerre entre toi et toi seul. Les autres et les situations vécues n’étant que le reflet de ce que tu dégages et de tes propres chimères. C’est pathétique de te voir emprisonné ainsi dans un monde hostile comme une mouche prisonnière d’une bouteille ouverte. »

Lui : « Je suis à bout . »

Elle : « Moi aussi ! Triste, déçue avec un réel sentiment de gâchis. Tu as un tel potentiel à développer  et à manifester au fond de toi! Je trouve tellement malheureux que tu te sois autant focalisé sur tout ce qui n’était pas vraiment toi, ce qui n’était pas nous.

A nous deux, nous sommes d’une grande puissance.

Toi seul, tu es capable de donner du sens à ce que tu vois fonctionner autour de toi. Mais tu es incapable d’avoir un regard sur ce qui pourrait donner un sens à ta propre existence. 

Moi seule, je suis remplie de sens, d’idées, de concepts, d’amour, d’énergie, de vie. Mais je suis incapable de les faire vivre dans le concret, de les matérialiser, de les réaliser. 

Seul notre couple a la possibilité de se nourrir de nos forces respectives, de les assembler, de les unir pour nous créer, aussi bien toi que moi, la vie dont nous rêvons, celle à laquelle toi comme moi
nous aspirons depuis que nous nous sommes rencontrés.

Toi seul et moi seule ne rime avec aucun espoir. Tout comme on ne peut pas faire pousser une plante avec juste du soleil ou juste de la terre, on ne peut pas faire grandir un être humain uniquement à travers son mental-ego ou uniquement à travers son âme. C’est la réunion de toi, mon mental-ego et de moi, ton âme qui sera la clé de notre réalisation.

Tant que tu ne compteras que sur toi je ne pourrais t’accompagner et nous ne pourrons nous unir pour partager qui nous sommes et devenir l’être humain né il y a quelques années pour se réaliser avec bonheur dans cette belle aventure qu’est la vie. »

Lui (Mental-Ego) : « Tu es en train de me dire que je suis un unijambiste qui essaye de courir comme un bipède! Tu es en train de me dire que tu es ma compagne dans la vie, que tu es près de moi en permanence depuis ma naissance, que tu me regardes sans cesse, que tu me parles continuellement alors que je ne soupçonnais même pas ton existence il y a plus de cinq minutes!

Tu es en train de me dire que tu me quittes alors que je ne savais même pas que nous étions ensemble! Tu es en train de m’expliquer que tu es «cette petite étincelle» que j’ai toujours cherché dans l’autre pour m’accoupler et qui finissait toujours par m’échapper, alors que c’était finalement toi qu’inconsciemment je recherchais!

Tu me laisses là, de nouveau seul, alors que je viens seulement de te découvrir, te reconnaître et que j’ai maintenant tellement envie de savoir qui tu es! »

Elle (Âme) : « Je ne suis pas une curiosité de plus dans ta vie ! Je ne suis pas un nouveau sujet d’étude ou un nouvel outil que tu as trouvé pour te faire valoir auprès des autres. Je suis encore moins une conquête de plus dans ton carnet d’adresse! Maintenant que tu connais mon existence, libre à toi de venir vers moi et de me faire une place dans tes pensées.

Si je t’attire, si tu as réellement envie de découvrir qui je suis, de me soutenir et de partager ton existence avec moi, tu es totalement libre de le faire!

Je suis une vibration, une vision, un sentiment. Je suis finalement la plus belle version de toi-même.
A toi d’avoir l’énergie, d’avoir l’élan vers moi ! A toi de me rejoindre et de me féconder par tes actions pour que nous puissions créer ensemble la plus belle réalisation de nous-même. »

Mental-Ego : « J’ai sincèrement envie de vivre cette aventure avec toi. Je souhaite vraiment que cette nouvelle rencontre devienne ma raison de vivre car je sens au fond de moi que c’est la porte ouverte vers mon bien-être. Comment puis-je aller vers toi, m’unir à toi et réaliser ce couple intérieur qui semble être si porteur d’espoirs ? »

Âme : « C’est le chemin du développement personnel. »

Quand vous n’allez pas bien, quand vous souffrez, quand vous vous sentez mal, c’est ce genre de conversation qui se déroule inconsciemment à l’intérieur de vous. C’est ce conflit, ce désamour entre vous et vous-même qui génère la souffrance, qui mine votre énergie et vous empêche d’accéder à la vie de bien-être que vous désirez tant.

Il est difficile de rentrer à l’intérieur de soi et de faire un état des lieux cohérent de l’état de notre couple intérieur que forme le mental-ego et l’âme.

Mais Tendance Winner vous propose de réaliser un test qui vous permettra de comprendre vos zones de conflits intérieures s’exprimant par des manques.

Pour faire le test, c’est ici.

Le training émotionnel des gens heureux.

On ne peut pas choisir d’accéder à la maturité physique! La vie se charge de notre corps qui passe de l’enfance à la vieillesse quoi qu’on fasse.

En revanche, on a un choix disponible dans l’existence! L’option « être heureux ». Parce que le bonheur est avant tout un état d’esprit. C’est l’état d’esprit de la maturité émotionnelle!

L’immaturité émotionnelle apporte le chaos pour soi et pour les autres. La maturité émotionnelle n’est pas innée. Elle demande de l’entraînement et surtout l’envie de se créer une vie géniale!

Voici le training émotionnel des gens heureux en 5 points :

  • Créer en soi (par la pensée) et autour de soi (par la parole) une atmosphère positive et attirante.

Les personnes qui ont une attitude émotionnelle positive démontrent un certain charisme qui leur apporte en retour beaucoup de satisfactions. Le fait de devenir une personne qui crée une atmosphère agréable et légère a un fort pouvoir d’attraction et ouvre beaucoup de portes dans le quotidien. Aider les autres à vivre une expérience positive dans une situation où ils s’attendent à vivre de l’inconfort permet de leur offrir une expérience unique et précieuse. Elles allègent le quotidien de ceux qui les entourent, n’augmentent pas leur stress et apportent du soutien à leur entourage sans avoir à s’épuiser pour les aider.

  • Toujours commencer une interaction avec autrui en ayant un sentiment de sympathie envers lui.

Chacun songe à lui même du matin jusqu’au soir, au travail qu’il a à faire, aux rendez-vous qu’il doit honorer, à ses comptes, à ce qu’il va manger, à ses enfants dont il doit s’occuper. Personne n’a envie au milieu de sa journée de rencontrer quelqu’un qui est désagréable avec lui, qui lui fait perdre son temps et qui le péjore. Avoir un sentiment de sympathie pour autrui, c’est lui montrer de l’intérêt et une admiration sincère et s’adresser à lui avec le sourire. Si c’est impossible de ressentir cette sympathie dans l’échange potentiel qui se présente, il vaut mieux esquiver plutôt que de blesser ou d’indisposer l’autre. Si non, le retour de flamme est cuisant et laisse en soi un sentiment amer et désagréable.

  • Comprendre l’autre avant de chercher à être compris.

La plupart du temps chacun veut seulement se sentir compris et apprécié. Chacun est focalisé sur son programme personnel, sa vision des choses et ce qu’il souhaite obtenir. Quand deux personnes se rencontrent, chacun veut obtenir la compréhension de l’autre et lui faire passer son propre message. Quand les deux s’entendent car leurs programmes personnels se rejoignent, le dialogue et la compréhension réciproque s’installent facilement. Bien souvent, et c’est spécialement le cas entre les hommes et les femmes, entre le patron et ses employés, entre les parents et les enfants, entre le prof et son élève, les programmes personnels entre les deux divergent. L’un ne comprend pas l’autre et cherche à imposer son point de vue sans vraiment se mettre à la place de celui qui est en face de lui. Dialogue de sourd, envie de convaincre, haussement de ton, colère et frustration sont au rendez-vous. C’est le rapport de force et les jeux de pouvoir qui s’installent.  En fait, comme lorsqu’on est au volant sur la route, il faut savoir parfois céder sa priorité pour dégager le carrefour et redonner de la fluidité à la circulation. Avant de vouloir faire passer son message en priorité, il est bon de prendre le temps de se mettre à la place de l’autre, de lui poser des questions pour essayer de comprendre son point de vue, et de reconnaître en soi si il existe quelques points de convergences avec notre propre point de vue qui peuvent servir de base au dialogue. C’est extrêmement générateur de bien-être quand on vit des relations où chacun se sent gagnant, où chacun éprouve le sentiment que l’échange a du sens.

  • Être flexible.

Être flexible c’est sortir de la croyance « mon bonheur ne dépend que de la manière dont les choses se passent. » La vie n’est pas faite d’extrêmes. Entre le noir et le blanc, le chaud et le froid, le soleil et la pluie, le doux et le dur, il existe quelques nuances. Et c’est seulement parce qu’on a la connaissance du noir ET du blanc, du froid ET du chaud, du temps caniculaire ET du temps de Toussaint, qu’on peut évaluer ce qui se présente à nous. Envisager les deux possibilités « acceptation » et « refus » permet de connaître la notion de « s’accorder avec l’autre ou la situation ». Pleurer pour quémander un accord arraché de force à autrui n’apporte aucune satisfaction. En revanche, accepter le refus tel qu’il est, permet de rebondir pour proposer autre chose plus acceptable pour l’autre et pour soi ou pour trouver une autre solution par soi-même, sans l’autre. C’est accepter que le ciel ne s’écroule pas à chaque fois que le vent ne va pas dans la direction souhaitée. On s’adapte et on patiente. Etre flexible, ce n’est pas accepter tout et n’importe quoi. C’est rester fidèle à ses valeurs tout en respectant l’autre et ses valeurs. Et si rien n’est possible, c’est accepter de le rendre possible ailleurs, autrement, avec d’autres personnes. On s’aperçoit alors que l’option est encore plus belle que la précédente.

  • Posséder ses émotions.

Personne ne peut faire vivre à quelqu’un qui est maître de ses émotions un état émotionnel qu’il n’a pas au préalable accepté de vivre. Les émotions sont communicatives, mais personne n’est obligé de se laisser contrôler par elles et encore moins par celles des autres. C’est à chacun de décider ce qu’il accepte de vivre ou de ne pas vivre. Chacun a le choix de ce qu’il se fait à lui-même. C’est cela prendre possession de ses émotions. Sans maîtrise de ses émotions, on laisse n’importe qui ou n’importe quoi, toucher, blesser, affaiblir, tourmenter qui nous sommes. C’est open-bar à l’intérieur de soi. Sans maîtrise émotionnelle un individu tout entier peut être détruit facilement, car il cède à ceux qu’il croise dans sa journée, du plus équilibré au plus déséquilibré, la télécommande de son bien-être intérieur. Posséder ses émotions c’est choisir de donner la valeur ou la signification que l’on veut aux actes des autres. C’est à dire, la valeur et la signification qui est la plus plaisante, qui fait se sentir bien quelque soit ce qu’autrui dit ou fait. C’est décider de l’interprétation, du ressenti et de l’impact que cela a sur soi. C’est choisir de réagir aux actes des autres de manière à rester heureux. On décide de choisir ce qui nous rend plus calme et serein ou plus en colère et aigri. C’est un choix. Posséder ses émotions, c’est lâcher l’importance. Dédramatiser et prendre de la distance. Rechercher en tout temps et en tout lieu le bien-être et la sérénité.