Arrêtez de côtoyer les mauvaises personnes. 


La vie est trop courte pour perdre son temps avec ceux qui sous estiment votre véritable valeur et ceux qui vous poussent à tourner le dos à vos propres valeurs. 

Ces deux choses là fonctionnent ensemble à vrai dire, car si vous vous détournez de vos valeurs, vous vous manquez de respect. Et si vous vous manquez de respect pourquoi les autres ne pourraient pas également manquer de respect à ce que vous êtes ? 

« Arrêter de côtoyer les mauvaises personnes » est un résumé un peu lapidaire que l’on peut lire un peu partout. C’est une phrase qui semble plus accuser les autres de ne pas être assez bien pour soi plutôt que de nous inviter à plus de responsabilité. En revanche c’est un point de départ intéressant car cela invite à faire du tri. 

En effet sans tri point de salut. Trier s’inscrit dans la notion de gestion. Si on ne gère rien dans sa vie on est vite débordé. Si vous ne gérez pas vos relations vous serez ensevelis. C’est la porte ouverte au gaspillage de temps et d’énergie. 

Personnellement je préfère convertir la phrase « arrêtez de côtoyer les mauvaises personnes » par « sachez faire les bons choix relationnels « . Car savoir faire les bons choix relationnels permet de trouver la bonne distance relationnelle avec ceux qui nous correspondent moins et de s’engager pleinement avec ceux qui nous conviennent parfaitement. 

Ma pratique quotidienne me montre que vous êtes nombreux à souffrir de relations difficiles, aliénantes et conflictuelles. Alors qu’il suffirait de connaître les codes des relations enrichissantes pour que la vie devienne douce et chaleureuse. 

C’est pourquoi j’ai créé une séance d’information qui permet de saisir les clés des relations agréables pour s’éviter de s’engager dans des relations stériles ou douloureuses et de se créer des tensions corporelles inutiles. 

Si vous êtes intéressé c’est ICI

Et si vous changiez de regard sur vos douleurs?

Votre dos vous fait souffrir régulièrement. Vos articulations sont raides et parfois certains mouvements sont douloureux. Vous avez en permanence en tête comment vos douleurs se réveillent et vous vous méfiez de chaque mouvement.

Vous avez consulté, absorbé des boites entières de médicaments. Vous avez tout essayé et vous savez que c’est foutu. Votre corps est usé et rien ne pourra vous soulager. C’est la vieillesse et les mouvements malsains que vous avez effectués dans le passé qui sont responsables de votre état. C’est fichu! Maintenant vous devez supporter la douleur et apprendre à vivre avec.

Parfait! Vous êtes du côté de ces personnes qui sont résignées et persuadées que plus rien ne pourra être comme avant car votre corps est foutu.

Pourtant, si vous n’étiez pas persuadé que « vous savez que c’est foutu », vous pourriez imaginer que peut-être vous ne savez pas tout! Peut-être que vous pourriez imaginer que le corps obéit à des lois mécaniques que vous ne connaissez pas et que peu de thérapeutes connaissent car l’étude de la biomécanique corporelle n’est a priori pas une formation diplômante mais une spécialisation rébarbative qui rebute les plus motivés. Peut-être existe-t-il des lois physiques de pression et de compensation que vous ne connaissez pas mais que votre corps applique consciencieusement sans vous tenir au courant.

À toujours penser que la douleur est une fatalité et que ce qui est usé fait mal, vous vous empêchez de répondre à la question essentielle qui est « mais POURQUOI mon dos fait mal? »

Vous préférez vous réfugier dans une recherche compulsive de comment vous vous êtes fait mal. C’est ainsi que vous accuserez votre cours de gym, votre chaise de bureau, votre âge et tout ce qui pourrait répondre de près ou de loin à un COMMENT stérile.

Ceux qui me suivent régulièrement savent que je n’aime pas le culte des « comment ». Je préfère de loin la philosophie des « pourquoi ». Là encore cela se vérifie.

Si vous acceptez quelques instants de lâcher vos certitudes et de faire l’effort de poser un autre regard sur vos douleurs , je vous invite à découvrir POURQUOI votre corps SE FAIT MAL TOUT SEUL! Je vais tenter de vous donner quelques clés biomécaniques en les rendant à peu près « buvables » mais mon seul souhait c’est de vous montrer que votre corps passe ses journées entières et même ses nuits à tenter de vous soutenir. Sachant cela vous trouverez peut-être un peu de sens à vos douleurs et surtout un mode d’emploi pour lui faciliter la tâche.

La première clé biomécanique explique que le diaphragme (que tout le monde connaît comme étant le muscle qui permet de respirer) est l’élément corporel qui fait la pluie et le beau temps pour toutes vos articulations. Je dis bien toutes vos articulations, c’est à dire des pieds à la tête. En 25 années de pratique thérapeutique, 100% de mes patients douloureux chroniques ont un blocage diaphragmatique.

Pour vous épargner j’ai troqué le cours de 4 heures que je donne aux professionnels courageux et impliqués par une vidéo de 7 minutes que je vous invite à regarder en plein écran sur votre ordinateur.

La seconde clé biomécanique est issue de l’étude des moments de force de chaque muscle sur l’axe de mouvement des articulations. Pour faire plus simple, chaque muscle crée un mouvement sur une ou des articulations mais, la tension du muscle crée également une composante de compression de l’articulation. Cette composante de compression est directement proportionnelle au coefficient de raideur du muscle. En langage clair, plus le muscle est raide plus les articulations sont comprimées. C’est ce qui explique l’arthrose et les blocages articulaires. Regardez cette vidéo pour comprendre les enjeux.

D’autres clés biomécaniques existent pour expliquer les douleurs, mais en comprenant déjà ces deux phénomènes vous pourrez, je l’espère, poser un autre regard sur vos inconforts articulaires et retrouver un peu d’espoir pour l’amélioration de votre bien-être corporel.

Si vous souhaitez plus d’informations, contactez-moi

Et si vous changiez de regard sur vos douleurs?

Votre dos vous fait souffrir régulièrement. Vos articulations sont raides et parfois certains mouvements sont douloureux. Vous avez en permanence en tête comment vos douleurs se réveillent et vous vous méfiez de chaque mouvement.

Vous avez consulté, absorbé des boites entières de médicaments. Vous avez tout essayé et vous savez que c’est foutu. Votre corps est usé et rien ne pourra vous soulager. C’est la vieillesse et les mouvements malsains que vous avez effectués dans le passé qui sont responsables de votre état. C’est fichu! Maintenant vous devez supporter la douleur et apprendre à vivre avec.

Parfait! Vous êtes du côté de ces personnes qui sont résignées et persuadées que plus rien ne pourra être comme avant car votre corps est foutu.

Pourtant, si vous n’étiez pas persuadé que « vous savez que c’est foutu », vous pourriez imaginer que peut-être vous ne savez pas tout! Peut-être que vous pourriez imaginer que le corps obéit à des lois mécaniques que vous ne connaissez pas et que peu de thérapeutes connaissent car l’étude de la biomécanique corporelle n’est a priori pas une formation diplômante mais une spécialisation rébarbative qui rebute les plus motivés. Peut-être existe-t-il des lois physiques de pression et de compensation que vous ne connaissez pas mais que votre corps applique consciencieusement sans vous tenir au courant.

À toujours penser que la douleur est une fatalité et que ce qui est usé fait mal, vous vous empêchez de répondre à la question essentielle qui est « mais POURQUOI mon dos fait mal? »

Vous préférez vous réfugier dans une recherche compulsive de comment vous vous êtes fait mal. C’est ainsi que vous accuserez votre cours de gym, votre chaise de bureau, votre âge et tout ce qui pourrait répondre de près ou de loin à un COMMENT stérile.

Ceux qui me suivent régulièrement savent que je n’aime pas le culte des « comment ». Je préfère de loin la philosophie des « pourquoi ». Là encore cela se vérifie.

Si vous acceptez quelques instants de lâcher vos certitudes et de faire l’effort de poser un autre regard sur vos douleurs , je vous invite à découvrir POURQUOI votre corps SE FAIT MAL TOUT SEUL! Je vais tenter de vous donner quelques clés biomécaniques en les rendant à peu près « buvables » mais mon seul souhait c’est de vous montrer que votre corps passe ses journées entières et même ses nuits à tenter de vous soutenir. Sachant cela vous trouverez peut-être un peu de sens à vos douleurs et surtout un mode d’emploi pour lui faciliter la tâche.

La première clé biomécanique explique que le diaphragme (que tout le monde connaît comme étant le muscle qui permet de respirer) est l’élément corporel qui fait la pluie et le beau temps pour toutes vos articulations. Je dis bien toutes vos articulations, c’est à dire des pieds à la tête. En 25 années de pratique thérapeutique, 100% de mes patients douloureux chroniques ont un blocage diaphragmatique.

Pour vous épargner j’ai troqué le cours de 4 heures que je donne aux professionnels courageux et impliqués par une vidéo de 7 minutes que je vous invite à regarder en plein écran sr votre ordinateur.

La seconde clé biomécanique est issue de l’étude des moments de force de chaque muscle sur l’axe de mouvement des articulations. Pour faire plus simple, chaque muscle crée un mouvement sur une ou des articulations mais, la tension du muscle crée également une composante de compression de l’articulation. Cette composante de compression est directement proportionnelle au coefficient de raideur du muscle. En langage clair, plus le muscle est raide plus les articulations sont comprimées. C’est ce qui explique l’arthrose et les blocages articulaires. Regardez cette vidéo pour comprendre les enjeux.

D’autres clés biomécaniques existent pour expliquer les douleurs, mais en comprenant déjà ces deux phénomènes vous pourrez, je l’espère, poser un autre regard sur vos inconforts articulaires et retrouver un peu d’espoir pour l’amélioration de votre bien-être corporel.

 

Surfez sur la vague du POUR!

 


Ça y est! Vous ressentez de nouveau un vide à l’intérieur de vous! Vous sentez que votre esprit est monopolisé par des pensées de manque. Ou bien, vos pensées tournent en boucle sur le sujet qui vous préoccupe. Vous ressassez de manière obsessionnelle ce qu’il ou elle vous a dit. Vous retournez sans cesse dans votre esprit cette situation qui vous met mal à l’aise en essayant d’en découvrir le sens caché, de trouver le levier sur lequel vous pourriez agir pour faire pencher les choses en votre faveur mais vous n’avez encore rien trouvé. Vous angoissez car vous imaginez le pire. Vous avez besoin de savoir, vous avez besoin d’être rassuré, vous avez besoin de réconfort, d’être validé dans vos réflexions.

En attendant d’obtenir cela, vous grignotez, vous ne vous sentez pas capable de faire ce que vous aviez prévu de faire, vous restez coincé devant la télévision, vous n’arrivez pas à sortir de chez vous ou vous vous lancez dans un ménage méticuleux et approfondi où chaque détail à son importance à vos yeux. Bref, la liste est longue de tout ce que vous pouvez mettre en place comme moyen de substitution au manque. Vous cherchez à vous distraire de ce vide, à le remplir de rien.

Ce qui est important de comprendre c’est que cette recherche de distraction ou de substitution au vide que vous ressentez n’est pas consciente. Si quelqu’un vous demande « mais pourquoi grignotes-tu encore? », vous répondez que vous avez faim ou envie d’un truc sucré. Si quelqu’un vous propose d’aller vous promener au grand air, vous répondez que vous avez encore du ménage à faire. Et vous en êtes persuadé ! À aucun moment vous êtes capable de dire que vous avez besoin de faire toutes ces activités pour échapper au vide qui vous habite. Vous êtes persuadé que vous devez faire ces activités et que vous vous sentirez mieux quand vous les aurez faites. Ceci est juste, d’une certaine manière mais peu durable dans le temps. Dès que la sensation de vide reviendra en vous, vous replongerez dans la boîte de gâteaux, dans votre ménage intensif ou dans ce travail extrêmement urgent qui n’est indispensable que pour vous.

Stop! Observez-vous un instant! Etes-vous vraiment en train d’agir en vous concentrant sur ce que vous voulez vraiment? Est-ce que ces activités correspondent vraiment à votre idéal dans la vie? Ne sont-elles pas des activités qui finalement agissent en votre défaveur? Vous qui avez besoin d’être apprécié pour ce que vous êtes, d’être soutenu, d’être reconnu dans vos valeurs personnelles et vos talents, n’êtes-vous pas en train de vous isoler, de vous saboter? N’êtes-vous pas en train de vous distraire de votre but réel? Voulez-vous réellement vous laisser prendre du poids en grignotant à chaque occasion? Voulez-vous vraiment être reconnu pour un as du nettoyage? Voulez-vous vraiment que l’on pense de vous que vous travaillez tout le temps et que vous n’avez pas de temps libre pour partager avec vos amis des moments de vie valorisants? Avez-vous réellement besoin de vous enfermer tout seul chez vous toute la journée? Vous appréciez-vous vraiment quand vous passez des heures sur des points de détail, à surfer pour un rien sur internet ou à laisser le temps filer au lieu de vous donner les moyens de poser des actes concis et précis pour faire avancer ce qui vous tient à cœur?

Vous êtes en train de vous gâcher, juste parce que vous êtes perturbé parce que les choses ne vont pas dans le sens que vous voulez et que la vie vous fait attendre pour vous apporter ce que vous voulez qu’elle vous donne.

Alors, au lieu de vous laisser distraire par le fait de n’avoir pas obtenu ce que vous pensez être votre dû, je vous invite à vous concentrer dorénavant sur ce que vous pouvez vous donner vous-même maintenant pour faire un pas vers vos rêves.

Surfer sur le POUR, c’est s’assurer que les choses que vous faîtes et auxquelles vous pensez jouent en votre faveur, qu’elles ne vous distraient pas de votre objectif et qu’elles ne vous empêchent pas de vous concentrer sur la manière dont vous voulez vraiment vous sentir.

Pour cela je vous conseille d’éliminer les résistances en vous. Pour ne pas rester dans un état de turpitude ou dans un mode émotionnel négatif, donnez-vous maintenant les moyens d’en sortir. Cherchez dès maintenant à vous sentir un peu mieux. Allez, hop! Allez vers quelque chose qui vous fait du bien sans pour autant aller à l’encontre de vos rêves. Allez tout de suite vers quelque chose de meilleur pour vous. Et croyez que c’est possible!

Avez-vous déjà vu un enfant faire un caprice parce qu’il n’obtient pas ce qu’il veut? Ce n’est pas agréable à vivre pour son entourage. Cela ne donne pas une bonne image de lui. Il ressort de là épuisé et malheureux. Que fait le parent mature pour l’aider à passer le cap et lui éviter de rester trop longtemps dans une émotion malsaine? Il détourne son attention vers autre chose sans pour autant céder au caprice.

Voilà ce que vous pouvez faire pour éliminer les résistances qui sont en vous et qui polluent votre joie de vivre et contaminent votre entourage. Ces résistances sont l’expression de parties de vous qui manquent encore de maturité, à l’image de l’enfant capricieux. Donnez-vous les moyens de sortir de votre état négatif en allant vers quelque chose de meilleur comme le ferait un parent sage pour son enfant encore au stade des caprices .

Pour cela, je vous invite encore une fois à vous observer. Comment vous sentez-vous quand vous allez prendre un bain? Quand vous allez courir dans la nature? Quand vous allez au spa? Quand vous allez au cinéma? Quand vous téléphonez à votre meilleur ami? Quand vous vous plongez dans des études qui vous passionnent? Vous sentez-vous mieux? Qu’est-ce qui vous fait vous sentir mieux? C’est important de vous connaître et de savoir quelles sont les activités que vous aimez faire et qui vous permettent de changer de mode émotionnel. C’est important de vous autoriser et de vous pousser un peu à utiliser ces activités quand vos émotions sont négatives. C’est aussi cela être responsable de son bien-être. C’est savoir quoi entreprendre pour s’aider soi-même à aller mieux, sans attendre des autres de nous redonner le bien-être que nous avons perdu.

Savoir surfer sur le POUR, c’est rechercher à se sentir mieux et savoir quel chemin prendre pour y arriver. Vous aurez peut-être du mal au début à vous y mettre mais les résultats valent vraiment la peine.